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Prix des Azurés

23 mai 2016

Croquis d'audience

Rencontre avec l'auteur du Parloir au collège de Sundhouse .... Pendant les échanges, Justin Ruelle de 3A dessine Eric Sanvoisin à la manière d'un croquis d'audience.

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17 mai 2016

Une maison qui vous ravira le coeur

Les bandes blanches défilaient sur les bords de la route. La chaleur écrasante de ce milieu d'après-midi faisait onduler l'air sur le capot gris et délavé de la Panda d'Henry, un sexagénaire fraîchement retraité, qui avait profité de sa prime pour s'acheter une nouvelle résidence. Il avait, toute sa vie durant, vécu en centre-ville, et voulait, pour sa retraite, finir ses jours dans un endroit paisible, dans la périphérie de l'agglomération.

L'agent immobilier lui avait décrit une maison en campagne, qui, selon ses dires, lui ravirait le cœur et qui lui permettrait de vivre paisiblement et de profiter de sa modeste retraite. Henry, ancien infirmier, avait sauté sur l'occasion. De plus, il n'avait eu à débourser que quelques dizaines de milliers d'euros pour se rendre propriétaire de l'endroit. Il avait vu quelques photos et avait pensé à ses petits enfants qui pourraient profiter du terrain lorsqu'ils lui rendraient visite. La maison, assez isolée, était légèrement délabrée mais le gendre d'Henry accepterait sûrement de l'aider à retaper un peu la vieille bâtisse.

En suivant les indications données par l'agent immobilier, le jeune retraité, après une trentaine de minutes de route, trouva le petit tunnel qui conduisait au bien à visiter. Il déboucha dans un terrain où les arbres étaient rares et calcinés par la canicule de cette année particulièrement chaude. Il vit la maison. Elle disposait de deux étages et d'un grenier, ainsi que d'une cave assez impressionnante, qui couvrait la majeure partie de la surface de la maison. Sa voiture s'arrêta lentement en toussotant. Elle finit par caler à une cinquantaine de mètres de la maison. Henry regarda le compteur. Le réservoir de carburant était vide. Le vieil homme vérifia sa montre : il était bientôt cinq heures de l'après-midi. Il savait son frère disponible si le garage n'était plus ouvert. Aussi décida-t-il de visiter une seconde fois la propriété. Il l'avait brièvement vue durant sa première venue avec l'agent, mais il n'avait pas eu l'occasion d'en voir toutes les parties tant le vendeur avait semblé pressé de partir du lieu.

Henry poussa la porte de bois qui grinça et s'ouvrit avec difficulté. Le hall était seulement éclairé par la lumière du jour. Il était possible de distinguer avec difficulté un chandelier ancien, suspendu par une chaîne corrodée, ainsi que quelques vieux meubles, oubliés par des propriétaires peu minutieux. Le retraité alluma une lampe de poche qu'il avait pris la précaution de prendre avant de sortir de sa voiture et il scruta pendant quelques minutes la pièce. Il remarqua ensuite une petite porte délabrée dans un angle de la pièce. Il ne l'avait pas remarquée auparavant, aussi décida-t-il de voir à quoi elle menait. Il s'approcha et saisit la poignée de fer rouillée. Il eut le plus grand mal à ouvrir la porte mais après quelques efforts, cette dernière céda et laissa apparaître un escalier. Henry avait déjà visité la cave, mais ne se souvenait pas de ce chemin. Il s'engagea dans le mince corridor, sa lampe-torche à la main. Les marches de bois étaient grinçantes et vermoulues. L'une d'entre elles était même fendue. L'homme descendit avec prudence. L'escalier menait à une pièce de taille moyenne, remplie de toiles d'araignée et de poussière. D'anciennes caisses étaient couvertes par de vieux draps jaunis par le temps.

Henry avança dans cette partie encore inconnue de la maison. A mesure qu'il avançait, en scrutant l'obscurité, l'atmosphère lui paraissait de plus en plus oppressante. La tête lui tournait, comme si un poids invisible pesait sur la pièce entière. Il se força tout de même à aller jusqu'au bout de la salle obscure. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il remarqua qu'en lieu et place d'un mur de pierre identique aux trois autres, se trouvait une immense toile blanchâtre, accrochée aux murs ! Alors qu'il observait minutieusement la pièce de tissu, il lui sembla voir une ombre sur le côté gauche de la toile. Il se tourna. Rien. Après une attente qui lui parut interminable, il décida de voir ce qui se trouvait derrière le drap.

Lorsqu'il retira le tissu, il dégagea une grande quantité de poussière. Sa lampe s'éteignit brusquement: les piles devaient être usées. Il n'avait pas eu le temps de voir ce qui se trouvait au delà du voile. Alors qu'il se retournait, prêt à repartir pour aller appeler son frère, il vit nettement, une ombre. Un bras se trouvait sur le mur, terminé par une main arachnéenne. Henry ne la vit qu'une fraction de seconde. Elle disparut. La surprise était forte. Sa peur l'était encore plus. Il sentit une douleur dans la poitrine. Sa vision se troublait. Son corps entier se contracta sous l'effet de la douleur. Il était pris de contraction. Il s'écroula. Pendant quelques secondes, il lui sembla distinguer un visage, avant de percevoir, au travers de la face brumeuse, une poutre noueuse. Ses yeux se fermèrent. Il cessa de bouger. C'était terminé.

L'agent avait raison, cette maison lui avait ravi le cœur.

 

Fin

 

Baptiste Rostalski et Gaël Piquet

2de11, Lycée Koeberlé

17 mai 2016

Sans titre

Comme tous les soirs, Clémence racontait une histoire à sa fille, Lou. Ces récits, tous plus étranges les uns que les autres, étaient toujours inspirés de faits réels. Ce soir-là elle commença :

« Il était une fois, au fond d'un tunnel, des ombres qui dansaient. Comme chaque soir de l'année 1915, à minuit pile, les quelques enfants du village de Ménil la Horgne se réunissaient autour d'une petite lampe à gaz pour s'y raconter des histoires effrayantes.

Clarisse était la meilleure à ce petit jeu : elle adorait faire frémir d'horreur ses amis. Il faut dire que les temps n'étaient pas à la joie : cela faisait près d'un an que la guerre avait commencé. Les soirées entre amis permettaient à tous de reposer les esprits, remplis de sombres images de guerre.

A la fin de la soirée, Clarisse rentra chez elle, non loin du tunnel qui effrayait tant les jeunes esprits. Mais ce soir, comme les jours précédents, elle avait été suivie. Au cours de la soirée, ne voulant pas affoler ses amis, elle s'était tue au sujet de la mystérieuse présence qu'elle avait repérée depuis quelques temps déjà. Clarisse en était sûre: ce n'était ni un animal ni un homme normal. La silhouette ressemblait plus à un monstre à trois bras, un peu comme celui qu'elle faisait souvent apparaître dans ses histoires du soir. Le chemin qu'il lui restait à parcourir pour arriver à sa maison n'était plus très long mais cela faisait maintenant plusieurs minutes que quelqu'un ou plutôt quelque chose l'observait. Elle accéléra le pas, se mit à courir et finit par tomber. La jeune fille était terrorisée mais elle fut obligée de se relever car déjà l'ombre de son espion se dessinait devant elle. »

Lou frissonna au récit de sa mère qui continua :

« Affolée, Clarisse décida de se réfugier dans la première maison qu'elle aperçut. Malheureusement elle ne s'était pas rendue compte que cette maison abandonnée était tout aussi effrayante que la créature qui la pourchassait. Elle s'enferma dans la première pièce qu’elle trouva sur son passage : la cuisine. Elle espérait bien y trouver une arme pour se défendre. Épuisée, elle finit par s'endormir. C’est en se réveillant à l'aube qu’elle fit une terrible découverte...

Le ciel gris était devenu bleu et la maison, même si elle tombait en ruine, lui paraissait maintenant chaleureuse. Tout laissait à penser que Clarisse venait de remonter le temps. Elle prit son courage à deux mains et fit alors le tour de la maison. Dans une petite pièce à l'étage, elle trouva un miroir et en passant devant celui-ci, elle fut frappée de terreur : le monstre qui l'avait suivie la veille ressemblait étrangement à son reflet. En regardant par la fenêtre, tous ses amis avaient eux aussi été transformés. Des ombres dansaient dans l'herbe verte et l'une d'elles lui fit signe. Elle pensait rêver. En faisant attention, Clarisse

découvrit une enveloppe sur le rebord de la fenêtre où son nom apparaissait. Curieuse, elle l'ouvrit et lut alors : « Chère Clarisse,

A présent il faut faire un choix. Nous, ombres des lumières, nous te proposons d'être maîtres de ton destin. Tu peux rester ici avec nous, là où les enfants jouent et ne se soucient pas de la guerre ou alors retourner dans ta vie d'avant à tes risques et périls... Si tu choisis de rester parmi nous, il faudra en revanche partir à la recherche de nouvelles personnes à qui proposer notre aide »

Clarisse hésita, fit les cents pas et tourna en rond durent de longues minutes. Enfin, elle prit la décision. Repartir en 1915 pour encore subir la guerre ? Non ! Plus jamais ! Elle resterait ici.

Clarisse rejoignit donc les quelques enfants qui l’attendaient dans le jardin vert et lumineux et commença dès ce jour, une nouvelle vie. Heureuse et en sécurité, la jeune fille pouvait maintenant croquer la vie à pleine dents. »

A présent, Lou était endormie.

 

Elise Steinmetz et Mylène Vonderscher

2de11, Lycée Koeberlé

17 mai 2016

La bête humaine

Durant quelques années, dans la plaine d'Alsace, des corps déchiquetés avec des os fracassés pour une raison inconnue étaient retrouvés tous les ans.

A cette époque, Jonas, un adolescent à problèmes, âgé de dix-sept ans, avait passé tout son début d'année de première à sortir tous les soirs et tous les week-ends. Il ne voyait même plus ses parents qui se lassèrent du manque d'implication de leur fils dans ses études et prirent donc la décision de l'envoyer en internat. A l'annonce de cette nouvelle, Jonas devint furieux et ne comprit pas pourquoi ses parents ne le laissaient pas en paix. Il fugua. Il marcha si longtemps qu'il découvrit une maison abandonnée où il décida de se réfugier. Cette demeure était immense ; les murs et les fenêtres avaient subi les dégradations du temps. Pour se sentir plus en sécurité, il monta à l'étage le plus haut de la maison. Il entendit des petits bruits qui ne le rassurèrent pas quand tout à coup il put entendre un vacarme assourdissant. Grâce à la lumière de la pleine lune, il aperçut une ombre titubante avec une bouteille à la main. L'inconnu grommelait des mots incompréhensibles. Plus l'homme s'approchait, plus il devenait violent comme s'il avait peur. Jonas essaya de s'enfuir, courut le plus vite possible mais percuta le clochard qui tomba dans les escaliers. Jonas, sans états d'âme, partit pour ne pas avoir davantage de problèmes.

Il sentit ses muscles se contracter, ses poils se hérissèrent et une bouffée de chaleur le prit. Il découvrit un tunnel abandonné au loin et décida de s'y abriter. Il fut pris d'une force surhumaine et d'une immense rage. Ses os et ses membres commencèrent à se transformer. Jonas devenait de plus en plus grand et de plus en plus poilu. Il souffrait le martyre et hurla à la mort. La faim lui dévorait les entrailles comme s'il n'avait pas mangé depuis des jours. Il avait une véritable faim de loup. Il courut de toute ses forces jusqu'au village le plus proche. Il ne prit même pas la peine de toquer et fracassa la porte. Une jeune fille apparut. La tentation de croquer dans la chair saisit Jonas. Il s'approcha doucement de la femme terrorisée et lui sauta dessus avec un instinct de bête sauvage tel un prédateur. Il planta à maintes reprises ses crocs dans la chair jusqu'à ce que la femme soit complètement démembrée. Une flaque de sang se répandit sur le sol. Alors qu'il était sur le point de quitter cette scène de crime, Jonas se retourna et découvrit, dans le miroir, ses dents pleines de sang...

 

FIN

Mathilde Rohr et Julie Marbach

2de11, Lycée Koeberlé

17 mai 2016

Le manoir Grünsel

« J'me lève. J'sais pas où je suis. Je sais tout juste que je m'appelle Bill. J'ai la bouche pâteuse. Face à moi, un décor de film d'horreur à la française. Soit le décorateur était mauvais, soit il manquait d'argent mais la maison face à moi ne fait pas peur, juste un peu pitié. En même temps normal, pour un film français.

J'ai déjà connu des réveils difficiles, mais celui-là décroche la palme. J'ai la vague impression d'être passé par une machine à laver, essorage 2, basse température pour le coton, et que du blanc pour pas mélanger les couleurs. Put***, j'suis perdu en pleine forêt, sapé avec des vêtements qui sont pas à moi, et la première chose à laquelle je pense c'est ma machine à laver.

Bon, réfléchissons. Hier, j'ai participé à une soirée un peu trop arrosée. D'ailleurs, est que c'était vraiment hier ? Il fait toujours nuit, j'ai pour seul guide les étoiles, donc j’imagine qu'il est soit très tôt soit très tard. J'oublie ma montre, mais pas qu'il faut séparer les couleurs quand on fait une machine. Merci maman, grâce à toi j'suis vraiment mal foutu. Faut que je fasse gaffe, soit le sol est pas droit, soit je suis pas encore tout à fait sobre.

Soyons logique, on va aller vers l’espèce de maison de retraite désaffectée. Avec un peu de bol, il y aura mamie qui m'attendra avec une tasse de chocolat chaud. L'espoir fait vivre... Nan, un simple téléphone se serait le Graal.

Forcément, pour entrer dans cette baraque qui manque de s'écrouler, j'suis obligé de passer par un tunnel qui tient plus de repaire à toxicos que du hall du Hilton. A chaque pas, j'ai l'impression que mes chances de choper une septicémie décuplent. Parce que, je vous l'ai peut-être pas dit mais je suis pieds nus.

J'suis arrivé dans ce qui semble être l'entrée de cette baraque. Ça pourrait être une bonne chose si le tunnel ne s'était pas littéralement écroulé après mon passage. La bonne nouvelle c'est que je suis indemne ; la mauvaise c'est que je sais pas trop comment sortir de là maintenant. Raison de plus pour explorer cette ruine vous me direz. Comme dirait mon père, que dieu bénisse l'inventeur da la mini-lampe-de-poche-porte-clé.

Je crois que je deviens barge. Je viens de voir un mec sapé d'une blouse blanche nickel, une petite serviette noire à la main, se balader tranquillou entre deux couloirs en ruine. Je le suis. Et là je débarque, dans des couloirs blancs aseptisés, type James Bond contre Dr. No. La dernière fois que j'ai vu des scientifiques dans un labo aussi chelou, c'était dans les Totally Spies et même là j'avais pas trouvé ça aussi flippant.

J'ai vomi. Je crois que j'ai vraiment bousillé un de leurs couloirs. Ils vont avoir une facture nettoyage qui va leur rester en travers de la gorge. Je sais pas si c'est à cause de la dose d'alcool excessivement élevée que j'ai ingérée ou parce que je me suis rendu compte que ces mecs n'avaient pas d'ombre. Ouais vous

avez bien lu, pas d'ombre. Et on n'est pas dans une mauvaise série B France 3 (Nota Bene : est-ce que mauvaise série France 3, ce n'est pas un pléonasme?)! Du coup, je suis en arrêt devant l'ombre de mon bras, scotché devant le contour si familier de mes doigts. Tellement absorbé que je n'entends pas le type s'approcher de moi. Je sens juste le poids de sa main sur mon épaule. Je tourne lentement la tête. Je vois ses longs doigts, translucides à force d'être pâles. Des boutons de manchettes noirs, nacrés de légers reflets argent. Sa blouse. Son épaule. Son visage. Ses yeux noirs. Je hurle. Et je me réveille, entouré de mes amis comateux, dans la maison de cette amie qui fête ses dix-huit ans. »

 

Le psychologue referme le carnet, qu'on sent usé à force d'avoir été lu. Il prend son temps, mûrit sa réponse, et regarde son patient.

- Mon cher Bill, je peux vous appelez Bill, maintenant ? Depuis le temps qu'on se connaît...

- Oui, oui bien sûr !

- J'en reviens à mon premier diagnostic : vous avez fait un effroyable cauchemar qui vous taraude toujours, mais ça ne demeure qu'un cauchemar.

- J'sais pas si vous vous en rendez compte docteur, mais c'était plus qu'un simple cauchemar.

- Je sais et je comprends... Maintenant il faut que vous soyez raisonnable et que vous arrêtiez de chercher ce manoir, qui n'existe que dans vos délires.

- Mais je l'ai trouvé ! A vingt bornes de là où s'est déroulé la fête !

Il sort ses notes.

- Le manoir... Grünsel ! Ça ne peut pas être une coïncidence !

- Écoutez, vous deviez connaître ce manoir avant de venir et votre inconscient l'a replacé dans ce cauchemar.

- Vous pensez ?

- J'en suis sûr. Donnez-moi vos notes.

- Mes notes ?! Mais ça représente des mois de travail !

- Je sais mais c'est la seule manière pour vous de vous libérer de ce cauchemar. Donnez-les-moi.

Bill tend avec regrets ses notes au médecin qui les prend du bout des doigts et les place sous la flamme de son briquet. Une fois le document consumé, le médecin regarde son patient et dit d'une voix calme et posée qui se veut rassurante :

- Voilà, maintenant reprenez votre vie là où vous l'aviez laissée et oubliez ce triste rêve.

Les deux hommes se lèvent.

- Merci docteur. J'espère que... ça ira mieux après ça ! Mais vous savez, à la fin j'avais l'impression que j'étais à deux doigts de découvrir quelque chose d'énorme !

- Oui, oui je comprends. En tous cas reposez-vous bien et revenez la semaine prochaine, même jour, même heure.

- Oui bien sûr ! Au revoir !

Bill sort. Un vague rictus naît alors sur le visage du médecin. Il se lève, remet en place ses boutons de manchettes noirs nacrés de légers reflets argent et sort, un sourire satisfait aux lèvres.

 

ANDRE-FORDOXEL Jonathan

LOGEL Tom

2de11, Lycée Koeberlé

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17 mai 2016

A la manière de...

Les 2des 11 du Lycée Koeberlé de Sélestat se sont essayés à l'écriture de nouvelles en reprenant les contraintes de Valentine Goby pour La Porte Rouge. A partir de photographies inspirées par les titres de la sélection, ils ont imaginé des récits fantastiques...

Capture1Mylène Vonderscher

Capture2Mathilde Rohr

13 mai 2016

Andréas, élève de 6e au collège de Villé, vous parle de Miss Pérégrine et les enfants particuliers

Andreas

 

miss

13 mai 2016

Léonie, élève de 3e au collège de Villé, vous parle du Parloir d'Eric Sanvoisin

9 mai 2016

Rencontres avec Eric Sanvoisin le 19.04 au Collège de Sundhouse

sanvoisin 022Le 19 avril, l'auteur du roman "Le Parloir" a quitté sa Bretagne pour venir au Collège du Grand Ried de Sundhouse. Il a rencontré trois classes de troisième de ce collège, une classe du collège de Marckolsheim ainsi que des élèves des collèges de Rhinau et Benfeld. Une chouette journée avec un auteur disponible et naturel !

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2 mars 2016

Le club lecture du collège de Benfeld rencontre la 3B de Rhinau

Le 26 février 2016, des élèves de l'atelier littéraire du collège de Benfeld se sont rendus en bus au collège de Rhinau pour y rencontrer les élèves de 3B. Pendant près de deux heures, ils ont pu discuter des livres de la sélection du Prix des Azurés, d'abord en petits groupes, puis tous ensemble.

Au préalable, chaque participant avait réalisé une illustration de l'un des personnages de la sélection et fait son portrait chinois. Lors de la rencontre les élèves ont présenté leurs travaux à leurs camarades qui devaient essayer de retrouver le nom des personnages évoqués et le titre des oeuvres.

La rencontre s'est terminée par un goûter-apéritif !

Les travaux du club lecture de Benfeld

Portrait de Dora ("La porte rouge") réalisé par Steilla

Portrait de Jacob ("Miss Peregrine et les enfants particuliers") réalisé par Téa

Les élèves découvrent le blog du Prix des Azurés

 

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